Photo (courtoisie). De gauche à droite : Émilie Lefrançois, actuelle coordonnatrice de la Chaire ; Anne Bourbonnais, titulaire de la Chaire ; Marthe Céline Thibaudeau, donatrice ; et Johanne Salvail, précédente coordonnatrice de la Chaire.
Le 18 juin 2025 a eu lieu un rassemblement pour souligner le 25e anniversaire de la Chaire de recherche en soins infirmiers à la personne âgée et à la famille.
De nombreuses personnes y ont assisté, notamment plusieurs ayant contribué aux travaux de la Chaire aux côtés de ses titulaires — Louise Lévesque (1998-2000), Francine Ducharme (2000-2015) et Anne Bourbonnais (2015 à aujourd’hui) — ainsi que des représentantes et représentants de l’Université de Montréal et du Centre de recherche de l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal.
L’événement a permis de remercier les donateurs et donatrices qui, par leur engagement indéfectible et leur générosité, ont rendu possible la création et la pérennité de la Chaire. Leur soutien a également contribué à la formation de la relève aux cycles supérieurs en sciences infirmières auprès des personnes âgées et de leurs proches. L’histoire et les principales réalisations de la Chaire ont été mises en lumière, tout comme son apport aux étudiantes et étudiants, et les perspectives prometteuses qui s’annoncent.
La titulaire Anne Bourbonnais souligne : « Faire de la recherche, c’est soigner autrement. C’est d’une certaine façon d’essayer de refaire le monde, en mieux, c’est de douter, de remettre en question, de ne pas toujours trouver, parfois d’être découragé, mais de toujours chercher et de contribuer directement à la société. »
Entourée d’une communauté de recherche unique, elle a tenu à remercier son équipe ainsi que son groupe d’étudiantes et d’étudiants, qui contribuent à entretenir cet espoir.
Première du genre au Canada, la Chaire de recherche en soins infirmiers à la personne âgée et à la famille demeure, 25 ans plus tard, un moteur d’innovation au service d’un meilleur accompagnement des personnes âgées et de leurs proches, parce que nous sommes toutes et tous concernés.
