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Profil de chercheur

Monchi Oury

Thème primaireNeurosciences du vieillissementThèmes secondairesInterventions et santé durable

Coordonnées

oury.monchi@umontreal.ca

Biographie

Le Dr Oury Monchi est professeur titulaire à la Faculté de médecine de l’Université de Montréal et directeur scientifique du Centre de recherche de l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal (CRIUGM). Il est également directeur du laboratoire Parkinson Cognition Action & Neuroimagerie (PCAN) et membre associé de plusieurs instituts de recherche reconnus, notamment le Hotchkiss Brain Institute et le Centre d’études sur le vieillissement de McGill.

Formé en mathématiques appliquées et en neurosciences computationnelles à Londres, il a ensuite effectué des stages postdoctoraux en neuroimagerie cognitive à l’Institut neurologique de Montréal et à l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal. Il a été titulaire de la Chaire de recherche du Canada de niveau 1 et de la Chaire Tourmaline sur la maladie de Parkinson, cumulant plus de 7 M$ en financement pour ses projets.

Internationalement reconnu pour ses travaux sur les symptômes non moteurs de la maladie de Parkinson, il est un pionnier dans l’utilisation combinée de l’IRM fonctionnelle, de la neurostimulation non invasive et de l’intelligence artificielle pour prédire le déclin cognitif et améliorer les traitements. Il est aussi un acteur clé de la recherche ouverte, notamment à travers le Réseau canadien Parkinson ouvert (C-OPN) et son engagement auprès de l’Institut Tannenbaum.

Intérêts de recherche

Le laboratoire Parkinson Action Cognition et Neuroimagerie (PCAN) du M. Monchi a été un pionnier dans l’utilisation de différentes techniques de neuroimagerie pour étudier les origines et l’évolution des déficits non moteurs (y compris cognitifs et neuropsychiatriques) de la maladie de Parkinson dans le but ultime de la prédiction précoce de la démence. Des thérapies non médicamenteuses telles que la stimulation magnétique transcrânienne et les ultrasons focalisés de faible intensité sont également à l’étude. Les méthodes utilisées comprennent l’IRM fonctionnelle et anatomique, la TMS, le LiFU, les évaluations neuropsychologiques et neuropsychiatriques, le génotypage et l’apprentissage machine. De nouvelles collaborations ont été entamées avec le laboratoire de M. Pierre Rainville pour caractériser les différents profils de douleur observés dans la maladie de Parkinson.

Mots-clés

Parkinson, cognition, neuroimagerie, neurostimulation, vieillissement, démence, plasticité cérébrale, TMS, douleur, science ouverte